JAZZ ARMENIEN : PRESTATION SUBLIME puis les SUNLIGHTS
QUAND ON SAIT QUE CELA SE PASSE EN TURQUIE ET QUE LE JAZZ BAND EST ARMENIEN, C’EST FANTASTIQUE.
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60′s - LES SUNLIGHTS – Le galerien – By DeeJay62
- de DeeJayM62
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VISIONNÉE
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ne joue pas au soldat
Ne joue pas au soldat mon cher petit bonhomme Les sabres et les fusils ne sont pas des jouets Plus tard tu en auras quand tu …
Artistes romantiques du XIXè siècle « CHOPIN – LISZT – WILLIAM BLAKE – CASPAR DAVID FRIEDERICH-GEORGE SAND – ALFRED DE MUSSET
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LE ROMANTISME..Mouvement littéraire et artistique qui développa dès la findu XVIIIe siècle une réaction contre le classicisme et le rationalismeen s’appuyant sur la sensibilité, le sentiment et l’imagination...
CHOPIN (18101849)- Waltz Op. 64 No. 2 (Rubinstein)
CHOPIN (1810-1849) Valse N°17 En La Mineur,,,Cziffra piano!!
Frederic Chopin Chopin Valse N°17 En La Mineur,,,=Georges Cziffra piano!!=..VOICI DEUX VIRTUOSES DE RENOM POUR UNE MËME OEUVRE..Il maestro Salvatore Accardo suona La Campanella DE FRANZ LIZST (1811-1886)ATORE
Né à TURIN en 1941 SALVATORE ACCARDO étudie le violon au Conservatoire de NAPLES
avec Luigi d’Ambrosio dans les années 1950 . Il donne son premier récital à l’âge de 13 ans,
remporte de premier prix au Concours de Genève deux ans plus tard, et est lauréat du
concours PAGANINI à 17 ans. Il fonde en 1971 le Festival pour cordes de Crémone.
Né en 1971, Evgeny Kissin joue très tôt ses premières notes de piano et entre à l’Ecole
de Musique Gnessine de Moscou à l’âge de 6 ans sous les bons auspices
d’Anna Pavlovna Kantor.
A 12 ans, il interprète les concertos pour piano N°1 et 2 de Chopin avec
l’Orchestre Philharmonique de Moscou, sous la direction de Dmitri Kitaenko.
Ses tournées à Berlin, à Londres et au Japon en 1986, marquent ses premiers triomphes
sur la scène internationale.
En 1988, il se produit avec l’Orchestre Philharmonique de Berlin sous la baguette
d’Herbert von Karajan pour le Concert du Réveillon.
En 1990, il fait ses débuts aux BBC Proms à Londres, ainsi qu’aux Etats-Unis,
sous la direction de Zubin Mehta.
Durant cette même année, il ouvre la centième saison du Carnegie Hall à New York.
Dès lors, il jouera avec les plus grands chefs et se produira
en musique de chambre avec les solistes les plus prestigieux.
Femmes d’Alger, par Eugène DelacroixContexte historique
En 1832, Eugène Delacroix fait un unique voyage au Maroc et en Algérie. Il y accompagne
le comte de Mornay, envoyé spécialDans les immenses salles mornes du Salon annuel, le tableau de Delacroix brille d’unelumière nouvelle, que tous ne savent pas voir Ce n’est pas seulement la qualité expressivede la couleur qui suscite les polémiques, ce ne sont ni la nouveauté, l’anticonformismedu sujet traité, ni l’audace de la représentation qui déchaînent les critiques.C’est la révélation authentique d’une âme et de ses émotions.Toute la peinture de Delacroix se situe dans ce rapport difficile entre l’imaginaire et le réel,entre l’observation du vrai et l’impulsion visionnaire..-
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.CASPAR DAVID FRIEDERICH
LES FALAISES DE CRAIE
L’ancien des jours
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Il est étrange que l’artiste ait choisi Newton comme représentant l’homme fait
à l’image de Dieu. C’est que ce savant était aussi un ésotériste et un mystique.
On ne peut s’empêcher de faire le rapprochement entre l’Ancien des jours
(voir plus haut) et ce tableau figurant Newton cherchant à percer les mystères
de la Nature.
NEWTON
♥♥
Éloge à William Blake
« William Blake est considéré comme un peintre pré-romantique britannique, même
s’il n’a pas créé de tableaux à l’huile, préférant l’aquarelle, le dessin, la gravure,
la lithographie et surtout la poésie. Il est l’auteur d’une œuvre inspirée de visions
bibliques à caractère prophétique. Son style halluciné est moderne et le distingue
de ses pairs bien que ses thèmes soient classiques.
D’après lui : « Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose
apparaîtrait à l’homme comme elle est, infinie. »
Cette formule a inspiré le choix du nom de l’essai d’Aldous Huxley,
Les Portes de la perception, qui lui-même a inspiré le nom
du groupe de rock : The Doors. »
* Texte modifié par Stéphen Moysan
« Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu’imaginé. »
de William Blake
P
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« La culture trace des chemins droits, mais les chemins tortueux sans profit sont ceux-là même du génie. »
de William Blake
Plus sur cette citation
.POESIE – William Blake
« Voir un monde dans un grain de sable. Et le ciel dans une fleur. Tenir l’infini dans
la paume de sa main. Et l’éternité dans une heure. » Williame Blake
J’aime relire de temps à autres des poèmes de William Blake, ce graveur, peintre
et poète anglais, né à Londres en 1757 et décédé en 1827. Peu connu de son temps,
les romantiques et les symbolistes virent en lui un précurseur audacieux.
C’est d’après beaucoup un artiste visionnaire qui croit au rôle prophétique de la poésie.
William Blake est une personnalité qui maîtrise aussi bien des formes d’expressions
aussi différentes que la peinture ou la poésie !
Comme un voilier part dans la lumière du matin
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon.Quelqu’un à mon côté dit :
« Il est parti ! »
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c’est tout…Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
pas en lui.Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « Il est parti ! »,
il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
s’exclament avec joie :
« Le voilà ! »…C’est cela la mort.
poèmes de George Sand (1804-1876)
..À Aurore
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La nature est tout ce qu’on voit,.Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime..Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit,.Tout ce que l’on sent en soi-même...Elle est belle pour qui la voit,.Elle est bonne à celui qui l’aime,.Elle est juste quand on y croit.Et qu’on la respecte en soi-même...Regarde le ciel, il te voit,
Embrasse la terre, elle t’aime.
La vérité c’est ce qu’on croit
En la nature c’est toi-même.
George Sand
Poèmes d’ Alfred de MUSSET
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A George Sand (V)
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Toi qui me l’as appris, tu ne t’en souviens plus
De tout ce que mon coeur renfermait de tendresse,
Quand, dans nuit profonde, ô ma belle maîtresse,
Je venais en pleurant tomber dans tes bras nus !
La mémoire en est morte, un jour te l’a ravie
Et cet amour si doux, qui faisait sur la vie
Glisser dans un baiser nos deux coeurs confondus,
Toi qui me l’as appris, tu ne t’en souviens plus.
Alfred de Musset
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mamie de 92 ans Quel talent !!
Âgée de 92 ans, cette mamie réalise de magnifiques motifs sur des
balles en soie avec une impressionnante minutie.

Il n’y a pas d’âge pour le talent et cette sénior nippone de 92 ans en est la preuve : elle a dévoilé au grand jour son incroyable collection de balles en soie, confectionnées de ses propres mains. DGS vous fait découvrir le fruit de son travail minutieux et de sa patience hors du commun.
L’art du Temari a vu le jour en Chine puis s’est étendu au Japon au 7ème siècle. Très vite, il s’est imposé comme une tradition : parents et grands-parents ont commencé à coudre des restes de soie issus de vieux kimonos pour ensuite les offrir à leurs enfants au Nouvel An. Comme ses ancêtres avant elle, cette grand-mère a appris la technique de confection de ce cadeau traditionnel japonais dans les années soixante.
Depuis, elle n’a cessé de confectionner de jolies balles de soie cousues avec minutie et dispose aujourd’hui d’une collection de plus de 500 pièces ! Sa petite fille, NanaAkua, a décidé de rendre hommage à la patience de son aînée en rendant public ses oeuvres à travers des photographies riches en couleurs que vous pouvez retrouver en intégralité sur son Flickr. Enfin, à 92 ans, cette mamie artiste ne semble pas décidée à mettre un terme à son travail et continue à réaliser de magnifiques Temari… Chapeau bas !
C’est incroyable d’avoir autant de patience ! D’autant plus que cette mamie artiste de 92 ans ne semble pas prête d’arrêter ! Au bureau, on est admiratif qu’à un âge aussi avancé on puisse encore être capable de réaliser des oeuvres aussi minutieuses. Bravo également à sa petite fille qui a eu la bonne idée de rendre public ses oeuvres à travers ces beaux clichés.
Ecoutez l’incroyable instrument inventé il y a 500 ans par Léonard de Vinci et joué pour la toute première fois
Ecoutez l’incroyable instrument inventé il y a 500 ans par Léonard de Vinci et joué pour la toute première fois
En inventeur de génie, les découvertes et idées de Léonard de Vinci n’ont pas fini de nous émerveiller, même cinq siècles après sa mort. Un pianiste polonais s’est inspiré d’un ancien croquis du maître pour construire la viola organista, un instrument inédit que DGS vous fait découvrir en images… Et surtout en musique !
De nos jours, il existe beaucoup d’instruments de musique électroniques capable de reproduire des sons qu’un seul instrument classique ne pourrait reproduire. Des synthétiseurs ultra-perfectionnés qui servent à de nombreux musiciens actuels. Pourtant, il existe bel et bien un instrument prodigieux capable de reproduire le son d’un petit orchestre… Avec un clavier !
Cet instrument s’appelle la viola organista et a été inventé par Léonard de Vinci. Le savant avait produit de nombreux croquis très détaillés de machines qui n’ont finalement jamais vu le jour du vivant de leur créateur. C’est le cas pour cet instrument très particulier. Au cours des siècles, il y a bien eu quelques tentatives de le reproduire, mais jamais un instrument n’aura été si proche de ce que les croquis décrivent que celui fabriqué par le pianiste polonais Sławomir Zubrzycki. La viola organista prend la forme d’un piano dans lequel les cordes ne sont plus frappées mais frottées, comme la plupart des instruments à cordes classiques.
Le mécanisme est donc différent de celui d’un piano classique : le musicien actionne des pédales qui font tourner des roues et des poulies qui viennent au contact des cordes pour les frotter et ainsi produire ce son que beaucoup caractérisent comme un croisement entre la viole de gambe, l’orgue, le violoncelle et le clavecin. Le tout donne une dimension plus orchestrale aux morceaux. L’instrument a ainsi fait sa première représentation le 18 octobre 2013 devant salle comble où le pianiste a ainsi revisité des pièces composées par Marin Marais ou encore Antoine Forqueray avec des sonorités qui tendent beaucoup vers le style baroque.
Viola organista made by Sławomir Zubrzycki
First performance of the viola organista made by Sławomir Zubrzycki. INTERNATIONAL RO…
C’est une découverte et une invention vraiment exceptionnelle ! Les amateurs de musique de la rédaction ont été conquis par le concept et le son de la viola organista, ils saluent également le génie de Léonard de Vinci qui perdure près de cinq siècles après sa mort. Et vous, êtes-vous fasciné par le fait que les idées d’un seul homme puissent traverser les siècles de cette façon ?
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Léonard de Vinci Peintre
Léonard de Vinci, né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre florentin et un homme d’esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, … Wikipédia
Naissance : 15 avril 1452, Vinci, Italie
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Taille : 1,94 m
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Période : Haute Renaissance
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La Joconde ou Mona Lisa 1503 – 1506 77 × 53 cm . Attribution . à .Léonard Musée du LOUVRE
France
Jeune fille décoiffée (inachevé) 1508 24,7 × 21 cm Attribution à Léonard .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_peintures_de_Leonard_de_Vinci
I) Léonard, inventeur et Ingénieur
1)Les machines volantes.
L’histoire de L’aviation doit beaucoup à Léonard de Vinci. Il est connu pour ses machines volantes.
Il commence ses recherches après son séjour à Milan entre 1500 et 1508. Depuis ce voyage il s’ingéniait à inventer des machines volantes en s’inspirant des insectes et des oiseaux.
Mais dès sa jeune enfance au XVème, il y a déjà une obsession des machines volantes, Léonard observe déjà les chauves souris et dessine une aile à côté des croquis restituant leur mouvement par des jeux de manivelles et d ‘engrenages. Les machines de cette époque n’ont pas encore pour vocation de faire voler les hommes (ils en sont incapables); mais simplement de reproduire les mouvements des ailes à des fins spectaculaires.
Léonard observe le monde animal (libellules, insectes…). Il s’intéresse notamment aux mouvements des ailes des libellules. Les ailes supérieures se lèvent tandis que les ailes inférieures se baissent. Il imagine alors un mécanisme pour reproduire ce mouvement. C’est le début de longues recherches pour arriver à la conception finale de machines volantes diverses.
L’Ornithoptère
Léonard était passionné par le vol et pouvait passer des heures a observer les oiseaux. D’après lui :
« L’oiseau est un instrument qui fonctionne selon les lois mathématiques et l’homme n’a qu’à mettre au point une machine susceptible de reproduire chacun de ses mouvements »
Il analysa alors le décollage et l’atterrissage de ces animaux et met en évidence le centre de gravité et le centre de poussée. Léonard est convaincu qu’il faut prendre modèle sur les oiseaux. Il constata que les bras humains étaient trop faibles pour voler alors il imagina une machine pour battre des ailes.
Tout d’abord, il pensa à un oiseau, croyant que les oiseaux battaient des ailes d’avant en arrière alors que c’est de haut en bas, il dessina des ailes d’oiseaux pour l’homme.
Il imagina des ailes composées :
-d’ une planche;
-de deux grandes ailes;
-de leviers pour manouvrer;
-de pédales et d’un système de poulie.
Malgré ses études précises du vol montant des oiseaux, quand il en est venu au conception pour la réalisation du vol artificiel, Léonard tout du dispositif plan fixe et concentra toute son attention sur les battements des ailes. Ce faisant il allait au delà de la défaillance inévitable.
Le Parachute
« Si un homme a un pavillon de toile fine bouchée, ayant douze brasses de surface et une hauteur de douze, il pourra se jeter de n’importe quelle hauteur sans se faire de mal. »
Le parachute inventé par Léonard de Vinci était fait avec une toile qui ne laissait passer ni l’eau ni l’air. Son parachute avait la forme d’une pyramide. Il mesurait environ sept mètres de haut sur sept mètres de large. On devait tenir les cordes du parachute. Cependant, les matériaux disponibles et utilisés dans le parachute, sont à cette époque trop lourds pour faire voler le parachute.
La vis aérienne
La vis aérienne peut être considérée comme l’ancêtre de l’hélicoptère mais n’a pas grand chose à voir. Léonard dessine les premiers plans de la vis dans ses carnets entre 1487 et 1490. Il lui vient cette idée, en étudiant le mouvement de la vis dans l’eau et en le comparant à celui dans l’air. Il imagine donc une gigantesque vis sans fin comparable à une vis s’enfonçant petit à petit dans le bois. Il pensa que l’atmosphère était constitué d’une matière suffisamment dense pour qu’une pièce puisse tourner à une grande vitesse et pour que cette matière puisse s’y infiltrer pour décoller et se déplacer.
D’après Léonard :
« Si cet instrument, qui a la forme d’une vis est bien fait, c’est-à-dire fait d’une toile de lin dont les pores sont bouchés avec de l’amidon, et si on le fait tourner rapidement, j’estime que cette vis fera son écrou dans l’air et elle s’élèvera. »
Il crée alors une vis aérienne avec une simple vis passée au milieu de deux plaques de bois en s’inspirant du principe de la vis d’Archimède utilisée dès l’Antiquité pour monter de l’eau.
Cette machine aurait dû fonctionner avec quatre hommes en poussant sur une petite tige perpendiculaire à l’axe central et en tournant la base de l’appareil ( comme un manège ). La voile tourne alors à une vitesse suffisante pour que l’appareil s’élève dans les airs.
Cependant de nombreux problèmes s’opposent à la réalisation de ce projet :
-> À cause de l’absence de connaissances aérodynamique (=compréhension et analyse de l’air). C’est-à-dire la partie de la physique qui étudie les effets de l’air et des gaz sur les déplacements des corps solides.)
« La force avec laquelle une chose va contre l’air est égale à celle de l’air contre la chose. »
Ainsi que de l’absence de motorisation adéquate, la vis aérienne resta à l’état de projet. La seule énergie de propulsion musculaire humaine ou animale disponible à cette époque est insuffisante pour alimenter celle-ci.
- -> De plus, il serait impossible de faire tourner assez rapidement la spirale en toile dont le diamètre est près de dix mètres sachant qu’elle doit être assez forte pour porter la machine ainsi que le pilote.
->En plus de cela, la toile n’a pas de trous, l’air ne peut dons pas pénétrer à travers.
Enfin, cette vis ne peut pas voler puisqu’il manque une hélice contra-rotative c’est-à-dire par doublet. Par couple, deux hélices dans un même axe et dont l’une tourne à droite et l’autre à gauche pour ne pas faire tourner la cabine et son pilote.
- Et le principe de l’action réaction : le déplacement de la voilure dans un sens, ce qui entraine une apparition d’un déplacement de la base dans le sens opposé. Il y a donc deux mouvements inverses ce qui entraineraient une autodestruction de la vis.
La force motrice
Léonard de Vinci ne pose jamais le problème de la force motrice. L’énergie mécanique est une quantité utilisée en mécanique classique pour désigner l’énergie d’un système emmagasinée sous forme d’énergie cinétique et d’énergie potentielle mécanique. C’est une quantité conservée en l’absence de frottement ou de choc qui s’avère pour cela pratique à utiliser.
Une force donc le point d’application se déplace peut mettre en mouvement un corps, modifier sa vitesse, son altitude ou encore sa température. Si par exemple, on pousse une voiture, le travail de la poussée est l’énergie produite par cette poussée. Les effets seront d’autant plus important que la valeur de la force sera grande et qu’elle agira sur une longue distance. Ces constatations ont conduit les physiciens à introduire une nouvelle grandeur appelé travail de force.