Donnez-nous, donnez-nous des jardins, des jardins pour y faire des bêtises, nous on r'vient des p'tites fleurs à la main quand on a déchiré sa chemise…… (P. PERRET)
La petite histoire de la chanson semble avoir, jusqu’à présent, .épargné à Marguerite Boulc’h, alias Pervenche, alias Fréhel, les derniers affronts : ceux de s’être faite psycho-psycha-socio-socia-historico-historica-fémino-femina-analysée par un reporter à deux sous ou un fana prêt à tout pour expliquer, via des notions freudiennes ou jungiennes apprises dans un livre de poche, le destin de cette femme.
L’on connaît, bien sûr, tous les détails de son enfance malheureuse, de ce viol auquel, très jeune, elle aurait échappé ; on connaît son mariage malheureux, l’histoire de son fils mort en bas âge, on connaît son amour pour Maurice Chevalier ; on connaît également la liste de ses amants, riches, boxeurs, noirs ; et il est facile d’en apprendre un peu trop sur sa fuite en Russie, de sa passion pour la cocaïne, l’alcool, sur son retour à Paris, après dix ans d’absence.
Tout cela, oui, c’est vrai – et qu’elle soit morte pauvre, alcoolique, presque oubliée de tous, aussi.
Nous nous bornerons à ne donner que deux dates : celle de sa naissance, le 13 juillet 1891 et celle de sa mort, le 3 février 1951.
Pour les amateurs, nous donnerons deux adresses : elle est née, au 2 du boulevard Bessières, dans le 17e arrondissement, à Paris et elle est décédée au 45 rue Pigalle, dans le 9e. – Et nous ajouterons qu’elle a été inhumé au cimetière de Pantin.
Et puis tant qu’à y être, nous citerons ce témoignage paru dans Ici Paris d’une danseuse qui, trente ans après, sa rencontre avec Fréhel :
« Un après-midi de 1948, au métro Anvers, je suis tombé en arrêt devant une grande femme, probablement saoule, affaissée au pied d’un arbre. Un car de police s’est bientôt arrêté pour embarquer cette pocharde. Mais elle a fait face aux flics. Elle leur a hurlé : « Foutez-moi la paix, je suis Fréhel, oui Fréhel, la chanteuse. » C’était bien elle, en effet, mais les agents refusaient de la reconnaître. Je suis allée les trouver. Je leur ai dit : « Vous ne pouvez pas embarquer notre grande Fréhel. « Ils ont hésité un instant et j’ai pu glisser à l’oreille de la malheureuse : « Chantez, Madame, je vous en prie, chantez. » – Alors les mains sur les hanches, les jambes écartées, dessoûlée comme par enchantement, elle a entamé « La Java Bleue » avec autant de force, autant de fougue qu’au temps où les foules l’acclamaient. – Aussitôt les badauds se sont pressés autour de leur ancienne idole, stupéfaits d’être les témoins de cet authentique miracle. Un brigadier a murmuré : « Comme c’est triste de finir ainsi ! » Puis il a rappelé ses hommes et le panier à salade est reparti à vide.«
Et ce sera tout.
Par contre, nous citerons pour l’écoute, quatre de ses plus grands enregistrements datant déjà de plus de soixante ans et qui continueront à donner à ceux et celles qui ne l’ont jamais entendu la « chair de poulede la vraie vérité« .
On ne saurait cependant passer outre cet extrait (Henri Christiné), datant de 1909, qui n’a été réédité, sous CD, qu’en 1990 sous la marque Chansophone. – Voir à discographie pour tous les détails.
[*] Fréhel
Biographie
Fréhel
Nicole et Alain Lacombe
Belfond, 1990
Quelques petits formats
Et comme tout cela ne sera jamais suffisant, nous reste qu’à présenter cette photo, datant de 1908, de cette Fréhel qui se nommait alors Pervenche. – C’était avant Saint-Pétersbourg, la Roumanie, Constantinople…
Bienvenue.- Dans quelques instants, le rideau va s’ouvrir et si vous le voulez, en fermant les yeux, vous vous retrouverez en 1870, en 1900, en 1930, à ces époques où vos pères et mères, vos grands-pères et grands-mères, vos arrière-grands-oncles et tantes, le samedi soir, après l’turbin, allaient au Café-concert, au Music-hall et, parfois même, le dimanche, au bord de l’eau, voir et entendre, en chair et en os, celui ou celle qui allait les distraire, les faire rire, les faire pleurer et à qui ils ont permis de graver dans leurs mémoires ces refrains que vous sifflotez, chantez à l’occasion et dont vous avez oublié les paroles et même l’air mais que ceux qui ont connu la 14-18 et la 39-45, vous ont pourtant transmis.Soyez cependant indulgents : nos phonographes et nos appareils photographiques ont de l’âge !
Les auteurs
Un clic sur une des images défilantes, ci-contre, dirige vers la page s’y référant.
LA CHANSON FRANCAISE DE 1870 A 1945… EN »PRESQUE » 50 CHANSONS…
Jean-Pierre Claris de Florian
Jean-Paul-Égide Martini
PLAISIR D’AMOUR
1785 – Paroles de Jean-Pierre Claris de Florian, musique de Jean-Paul-Égide Martini.
Il en fallait une, une première chanson dans cette série, et nous en avons, pour cela, choisi une qui, en 1870, avait déjà… quatre-vingt-cinq ans.
Plaisir d’amour
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
J’ai tout quitté pour l’ingrate Sylvie.
Elle me quitte et prend un autre amant.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
Tant que cette eau coulera doucement
Vers ce ruisseau qui borde la prairie,
Je t’aimerai, me répétait Sylvie,
L’eau coule encore, elle a changé pourtant.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie…
Son auteur : Jean-Pierre Claris de Florian. Son compositeur : Jean-Paul-Égide Martini né Johann Paul Aegidius Schwarzendorf.
Pas de doute sur la nationalité française de l’auteur mais pour le compositeur ? – Il était, oui,d’origine allemande mais la chanson française, comme on le verra par la suite, ne s’est jamais occupée de ces détails : ses chansons, qu’elles soient nées en France, en Italie, en Allemagne, en Espagne et, par la suite, aux USA (et ailleurs) sont devenues françaises quand elles ont été chantées en France, même par des étrangers. – Qui oserait dire, aujourd’hui, que « Viens, Poupoule !« , pour n’en nommer qu’une, n’est pas une chanson française ?
Mettons que, dans le cas de l’auteur et du compositeur de « Plaisir d’amour », la chose n’est pas aussi claire qu’elle puisse le paraître. L’édition de 1785 (vous voyez que ce n’est pas d’hier) mentionne comme co-auteur de la mélodie un certain Auguste ou Ange-Étienne-Xavier Poisson de La Chabeaussière, auteur – vous devez vous en souvenir – d’un opéra-comique mêlé d’ariettes connu sous le nom de Azémia ou Le nouveau Robinson, joué pour la première fois à Fontainebleau le 17 octobre 1786…
Qu’importe. Comme le dit Trenet : « Longtemps après que les poètes sont disparus, leurs chansons tournent encore dans les rues »…
Une des plus françaises des chansons françaises.
Enregistrements
Martin Pénet (Mémoire de la chanson – voir bibliographie) en a relevé, depuis 1902, plus d’une centaine et il en existe beaucoup d’autres. Ceux qu’il mentionne vont de Mercadier à Mireille Mathieu en passant par Reda Caire, Georges Guétary et… Eddy Mitchell.
Nos préférés sont ceux d’Yvonne Printemps (version 1938) et de Ninon Vallin que l’on trouvera facilement dans des coffrets ou des CD individuels chez, particulièrement, EPM et Frémeaux.
En voici un, fait à New York en 1927 par la basse canadienne Armand Gauthier, décédé en 1949 :
Disque Columbia (78 T) n° 34076
Après vous irez voir chez Printemps ou Vallin (surtout Vallin).
Le bébé était abandonné dans une rue d’Obninsk, en Russie, seul dans une boîte. S’il a survécu au froid, c’est grâce à
l’instinct maternelle dont a fait preuve MASHA, la
chatte ne s’est pas contenter de réchauffer l’enfant en s’allongeant sur son corps, mais elle a averti l’entourage par des miaulements répétés.
Le bébé était abandonné dans une rue d’Obninsk, en Russie, seul dans une boîte. S’il a survécu au froid, c’est grâce à l’instinct animal d’un chat qui l’a réchauffé de longues minutes en se blottissant contre lui. « Le bébé n’était dehors que depuis quelques heures et grâce à Masha, il n’a gardé aucune séquelle », a assuré un porte-parole de l’hôpital où a été transporté l’enfant. C’est également grâce au chat et à ses miaulements que le voisinage a fini par remarquer le bébé. « J’ai entendu Masha et j’ai d’abord pensé qu’elle était blessée. Vous pouvez imaginer ma stupeur lorsque je l’ai vu allongée dans une boîte, à côté d’un petit garçon », a déclaré Irina Lavora.
Infusion. Infuser de 0,8 g à 1,5 g de fleurs séchées (de 1 c. à thé à 2 c. à thé) dans 150 ml d’eau bouillante pendant 5 à 10 minutes. Prendre au besoin jusqu’à 3 fois par jour, ou au coucher pour combattre l’insomnie.
Teinture (1:5 dans l’éthanol à 60 %). Prendre de 2 ml à 4 ml, 3 fois par jour.
Huile essentielle. Prendre de 1 à 4 gouttes par jour mélangées à 1 c. à thé de miel ou déposées sur un carré de sucre. Prendre au coucher pour combattre l’insomnie.
Inhalation. Verser de 2 à 4 gouttes d’huile essentielle de lavande dans un diffuseur. À défaut de diffuseur, verser l’huile essentielle dans un grand bol d’eau bouillante et aspirer les vapeurs, la tête au-dessus du bol et recouverte d’une grande serviette. Répéter les inhalations plusieurs fois par jour, au besoin, ou au coucher pour combattre l’insomnie.
Par voie externe
Agitation et insomnie
Au coucher, appliquer 5 gouttes d’huile essentielle de lavande vraie sur les avant-bras et le plexus solaire (au centre de l’abdomen, entre le sternum et le nombril).
Avant de se coucher, prendre un bain chaud à l’huile essentielle de lavande : mélanger de 20 à 30 gouttes d’huile essentielle à un émulsifiant (par exemple 1 c. à thé de savon liquide non parfumé) avant d’ajouter le tout à l’eau du bain.
Crampes et douleurs musculaires
On peut préparer une huile à massage en diluant de 2 à 4 gouttes d’huile essentielle de lavande ou de lavandin dans 1 c. à table d’huile végétale. Masser légèrement les endroits atteints pour faire pénétrer.
Voir Sur les tablettes pour connaître les différents types de lavande disponibles et leurs usages les plus communs.
Historique de la lavande
Les Romains profitaient déjà des qualités aromatiques de la lavande aux thermes et ils en parfumaient leurs vêtements et leurs bains. Son nom est d’ailleurs dérivé de lavare, un mot latin qui signifie « laver ». Le mot « lavandière » vient du fait qu’on ajoutait de la lavande à l’eau de lessive afin de parfumer les vêtements. Au Moyen Âge, ses pouvoirs désinfectants étaient reconnus et on en faisait des fumigations et des emplâtres destinés à combattre la peste.
Au XVIe siècle, la Faculté de Montpellier étudie les usages médicinaux de la lavande. Tonique réputé, elle est aussi appréciée comme antidiabétique dans certaines régions d’Espagne. En outre, au début du XXe siècle, un parfumeur-chimiste qui s’était brûlé les mains a pu empêcher la gangrène de s’installer en les rinçant à l’essence de lavande. Dans les hôpitaux français, on utilisa pendant plusieurs décennies des huiles essentielles, dont celle de la lavande, pour désinfecter l’air et enrayer ainsi les infections microbiennes et fongiques.
Ses nombreuses indications et son innocuité font de l’huile essentielle de lavande un des fleurons de l’aromathérapie moderne.
Deux gouttes de lavande vraie (L. Angustifolia) sur le revers d’une veste de pyjama ou sur la taie d’oreiller favoriseraient un endormissement rapide et un sommeil réparateur. Elle a également de multiples usages dans l’industrie de la parfumerie, des cosmétiques, des détergents, et certains chefs cuisiniers créatifs l’emploient pour parfumer des sorbets ou des crèmes glacées, par exemple.
Énorme cheval de bois aux flancs creux construit par les Grecs pour s’introduire dans Troie pendant le siège. Imaginé par Ulysse, le cheval fut fabriqué par Épéios, maître charpentier et pugiliste. Feignant de renoncer à la guerre, les Grecs allèrent à l’île voisine de Ténédos, laissant derrière eux Sinon qui persuada les Troyens que le cheval était une offrande à Athéna et que sa possession rendrait Troie imprenable. En dépit des avertissements de Laocoon et de Cassandre, les Troyens firent entrer le cheval dans leurs murs. La nuit suivante, des guerriers en sortirent et ouvrirent les portes de la cité à l’armée grecque qui était revenue entre-temps. Cette histoire est développée dans le livre II de L’Énéide, et L’Odyssée y fait allusion. Aujourd’hui, l’expression « cheval de Troie » désigne une subversion introduite de l’extérieur.
A l’instar du » CHEVAL DE TROIE » nous avons fait entrer le loup dans la bergerie en donnant des pouvoirs aux islamistes venus sous la dénomination d’immigré, s’incrustant en FRANCE y prenant même la nationalité française ; allant jusqu’à contaminer les enfants, en FRANCE, de souche maghrébine, dont les parents vivaient chez nous sans histoire depuis toujours.
Je me refuse à penser que le terrorisme soit le fait de la Religion musulmane, aucune religion d’ailleurs n’incite à tuer, ou à maltraiter. ce sont des hommes qui ont inventé ce semblant de religion qui ressemble furieusement à une dictature barbare où l’homme serait l’esclave de l’homme. Il profite du mal-être de certains jeunes pour les embrigader dans leur secte, en leur faisant croire que c’est au nom « d’ALLAH »
Que les hommes de bonne volonté fassent cesser ce massacre !!!
Il est urgent de barrer la route à ces hommes fous de puissance qui n’hésitent pas à verser le sang.
La petite histoire de la chanson semble avoir, jusqu’à présent, .épargné à Marguerite Boulc’h, alias Pervenche, alias Fréhel, les derniers affronts : ceux de s’être faite psycho-psycha-socio-socia-historico-historica-fémino-femina-analysée par un reporter à deux sous ou un fana prêt à tout pour expliquer, via des notions freudiennes ou jungiennes apprises dans un livre de poche, le destin de cette femme.
L’on connaît, bien sûr, tous les détails de son enfance malheureuse, de ce viol auquel, très jeune, elle aurait échappé ; on connaît son mariage malheureux, l’histoire de son fils mort en bas âge, on connaît son amour pour Maurice Chevalier ; on connaît également la liste de ses amants, riches, boxeurs, noirs ; et il est facile d’en apprendre un peu trop sur sa fuite en Russie, de sa passion pour la cocaïne, l’alcool, sur son retour à Paris, après dix ans d’absence.
Tout cela, oui, c’est vrai – et qu’elle soit morte pauvre, alcoolique, presque oubliée de tous, aussi.
Nous nous bornerons à ne donner que deux dates : celle de sa naissance, le 13 juillet 1891 et celle de sa mort, le 3 février 1951.
Pour les amateurs, nous donnerons deux adresses : elle est née, au 2 du boulevard Bessières, dans le 17e arrondissement, à Paris et elle est décédée au 45 rue Pigalle, dans le 9e. – Et nous ajouterons qu’elle a été inhumé au cimetière de Pantin.
Et puis tant qu’à y être, nous citerons ce témoignage paru dans Ici Paris d’une danseuse qui, trente ans après, sa rencontre avec Fréhel :
« Un après-midi de 1948, au métro Anvers, je suis tombé en arrêt devant une grande femme, probablement saoule, affaissée au pied d’un arbre. Un car de police s’est bientôt arrêté pour embarquer cette pocharde. Mais elle a fait face aux flics. Elle leur a hurlé : « Foutez-moi la paix, je suis Fréhel, oui Fréhel, la chanteuse. » C’était bien elle, en effet, mais les agents refusaient de la reconnaître. Je suis allée les trouver. Je leur ai dit : « Vous ne pouvez pas embarquer notre grande Fréhel. « Ils ont hésité un instant et j’ai pu glisser à l’oreille de la malheureuse : « Chantez, Madame, je vous en prie, chantez. » – Alors les mains sur les hanches, les jambes écartées, dessoûlée comme par enchantement, elle a entamé « La Java Bleue » avec autant de force, autant de fougue qu’au temps où les foules l’acclamaient. – Aussitôt les badauds se sont pressés autour de leur ancienne idole, stupéfaits d’être les témoins de cet authentique miracle. Un brigadier a murmuré : « Comme c’est triste de finir ainsi ! » Puis il a rappelé ses hommes et le panier à salade est reparti à vide.«
Et ce sera tout.
Par contre, nous citerons pour l’écoute, quatre de ses plus grands enregistrements datant déjà de plus de soixante ans et qui continueront à donner à ceux et celles qui ne l’ont jamais entendu la « chair de poulede la vraie vérité« .
On ne saurait cependant passer outre cet extrait (Henri Christiné), datant de 1909, qui n’a été réédité, sous CD, qu’en 1990 sous la marque Chansophone. – Voir à discographie pour tous les détails.
[*] Fréhel
Biographie
Fréhel
Nicole et Alain Lacombe
Belfond, 1990
Quelques petits formats
Et comme tout cela ne sera jamais suffisant, nous reste qu’à présenter cette photo, datant de 1908, de cette Fréhel qui se nommait alors Pervenche. – C’était avant Saint-Pétersbourg, la Roumanie, Constantinople…
Bienvenue.- Dans quelques instants, le rideau va s’ouvrir et si vous le voulez, en fermant les yeux, vous vous retrouverez en 1870, en 1900, en 1930, à ces époques où vos pères et mères, vos grands-pères et grands-mères, vos arrière-grands-oncles et tantes, le samedi soir, après l’turbin, allaient au Café-concert, au Music-hall et, parfois même, le dimanche, au bord de l’eau, voir et entendre, en chair et en os, celui ou celle qui allait les distraire, les faire rire, les faire pleurer et à qui ils ont permis de graver dans leurs mémoires ces refrains que vous sifflotez, chantez à l’occasion et dont vous avez oublié les paroles et même l’air mais que ceux qui ont connu la 14-18 et la 39-45, vous ont pourtant transmis.Soyez cependant indulgents : nos phonographes et nos appareils photographiques ont de l’âge !
Les auteurs
Un clic sur une des images défilantes, ci-contre, dirige vers la page s’y référant.
LA CHANSON FRANCAISE DE 1870 A 1945… EN »PRESQUE » 50 CHANSONS…
Jean-Pierre Claris de Florian
Jean-Paul-Égide Martini
PLAISIR D’AMOUR
1785 – Paroles de Jean-Pierre Claris de Florian, musique de Jean-Paul-Égide Martini.
Il en fallait une, une première chanson dans cette série, et nous en avons, pour cela, choisi une qui, en 1870, avait déjà… quatre-vingt-cinq ans.
Plaisir d’amour
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
J’ai tout quitté pour l’ingrate Sylvie.
Elle me quitte et prend un autre amant.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
Tant que cette eau coulera doucement
Vers ce ruisseau qui borde la prairie,
Je t’aimerai, me répétait Sylvie,
L’eau coule encore, elle a changé pourtant.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie…
Son auteur : Jean-Pierre Claris de Florian. Son compositeur : Jean-Paul-Égide Martini né Johann Paul Aegidius Schwarzendorf.
Pas de doute sur la nationalité française de l’auteur mais pour le compositeur ? – Il était, oui,d’origine allemande mais la chanson française, comme on le verra par la suite, ne s’est jamais occupée de ces détails : ses chansons, qu’elles soient nées en France, en Italie, en Allemagne, en Espagne et, par la suite, aux USA (et ailleurs) sont devenues françaises quand elles ont été chantées en France, même par des étrangers. – Qui oserait dire, aujourd’hui, que « Viens, Poupoule !« , pour n’en nommer qu’une, n’est pas une chanson française ?
Mettons que, dans le cas de l’auteur et du compositeur de « Plaisir d’amour », la chose n’est pas aussi claire qu’elle puisse le paraître. L’édition de 1785 (vous voyez que ce n’est pas d’hier) mentionne comme co-auteur de la mélodie un certain Auguste ou Ange-Étienne-Xavier Poisson de La Chabeaussière, auteur – vous devez vous en souvenir – d’un opéra-comique mêlé d’ariettes connu sous le nom de Azémia ou Le nouveau Robinson, joué pour la première fois à Fontainebleau le 17 octobre 1786…
Qu’importe. Comme le dit Trenet : « Longtemps après que les poètes sont disparus, leurs chansons tournent encore dans les rues »…
Une des plus françaises des chansons françaises.
Enregistrements
Martin Pénet (Mémoire de la chanson – voir bibliographie) en a relevé, depuis 1902, plus d’une centaine et il en existe beaucoup d’autres. Ceux qu’il mentionne vont de Mercadier à Mireille Mathieu en passant par Reda Caire, Georges Guétary et… Eddy Mitchell.
Nos préférés sont ceux d’Yvonne Printemps (version 1938) et de Ninon Vallin que l’on trouvera facilement dans des coffrets ou des CD individuels chez, particulièrement, EPM et Frémeaux.
En voici un, fait à New York en 1927 par la basse canadienne Armand Gauthier, décédé en 1949 :
Disque Columbia (78 T) n° 34076
Après vous irez voir chez Printemps ou Vallin (surtout Vallin).
Le bébé était abandonné dans une rue d’Obninsk, en Russie, seul dans une boîte. S’il a survécu au froid, c’est grâce à
l’instinct maternelle dont a fait preuve MASHA, la
chatte ne s’est pas contenter de réchauffer l’enfant en s’allongeant sur son corps, mais elle a averti l’entourage par des miaulements répétés.
Le bébé était abandonné dans une rue d’Obninsk, en Russie, seul dans une boîte. S’il a survécu au froid, c’est grâce à l’instinct animal d’un chat qui l’a réchauffé de longues minutes en se blottissant contre lui. « Le bébé n’était dehors que depuis quelques heures et grâce à Masha, il n’a gardé aucune séquelle », a assuré un porte-parole de l’hôpital où a été transporté l’enfant. C’est également grâce au chat et à ses miaulements que le voisinage a fini par remarquer le bébé. « J’ai entendu Masha et j’ai d’abord pensé qu’elle était blessée. Vous pouvez imaginer ma stupeur lorsque je l’ai vu allongée dans une boîte, à côté d’un petit garçon », a déclaré Irina Lavora.
Infusion. Infuser de 0,8 g à 1,5 g de fleurs séchées (de 1 c. à thé à 2 c. à thé) dans 150 ml d’eau bouillante pendant 5 à 10 minutes. Prendre au besoin jusqu’à 3 fois par jour, ou au coucher pour combattre l’insomnie.
Teinture (1:5 dans l’éthanol à 60 %). Prendre de 2 ml à 4 ml, 3 fois par jour.
Huile essentielle. Prendre de 1 à 4 gouttes par jour mélangées à 1 c. à thé de miel ou déposées sur un carré de sucre. Prendre au coucher pour combattre l’insomnie.
Inhalation. Verser de 2 à 4 gouttes d’huile essentielle de lavande dans un diffuseur. À défaut de diffuseur, verser l’huile essentielle dans un grand bol d’eau bouillante et aspirer les vapeurs, la tête au-dessus du bol et recouverte d’une grande serviette. Répéter les inhalations plusieurs fois par jour, au besoin, ou au coucher pour combattre l’insomnie.
Par voie externe
Agitation et insomnie
Au coucher, appliquer 5 gouttes d’huile essentielle de lavande vraie sur les avant-bras et le plexus solaire (au centre de l’abdomen, entre le sternum et le nombril).
Avant de se coucher, prendre un bain chaud à l’huile essentielle de lavande : mélanger de 20 à 30 gouttes d’huile essentielle à un émulsifiant (par exemple 1 c. à thé de savon liquide non parfumé) avant d’ajouter le tout à l’eau du bain.
Crampes et douleurs musculaires
On peut préparer une huile à massage en diluant de 2 à 4 gouttes d’huile essentielle de lavande ou de lavandin dans 1 c. à table d’huile végétale. Masser légèrement les endroits atteints pour faire pénétrer.
Voir Sur les tablettes pour connaître les différents types de lavande disponibles et leurs usages les plus communs.
Historique de la lavande
Les Romains profitaient déjà des qualités aromatiques de la lavande aux thermes et ils en parfumaient leurs vêtements et leurs bains. Son nom est d’ailleurs dérivé de lavare, un mot latin qui signifie « laver ». Le mot « lavandière » vient du fait qu’on ajoutait de la lavande à l’eau de lessive afin de parfumer les vêtements. Au Moyen Âge, ses pouvoirs désinfectants étaient reconnus et on en faisait des fumigations et des emplâtres destinés à combattre la peste.
Au XVIe siècle, la Faculté de Montpellier étudie les usages médicinaux de la lavande. Tonique réputé, elle est aussi appréciée comme antidiabétique dans certaines régions d’Espagne. En outre, au début du XXe siècle, un parfumeur-chimiste qui s’était brûlé les mains a pu empêcher la gangrène de s’installer en les rinçant à l’essence de lavande. Dans les hôpitaux français, on utilisa pendant plusieurs décennies des huiles essentielles, dont celle de la lavande, pour désinfecter l’air et enrayer ainsi les infections microbiennes et fongiques.
Ses nombreuses indications et son innocuité font de l’huile essentielle de lavande un des fleurons de l’aromathérapie moderne.
Deux gouttes de lavande vraie (L. Angustifolia) sur le revers d’une veste de pyjama ou sur la taie d’oreiller favoriseraient un endormissement rapide et un sommeil réparateur. Elle a également de multiples usages dans l’industrie de la parfumerie, des cosmétiques, des détergents, et certains chefs cuisiniers créatifs l’emploient pour parfumer des sorbets ou des crèmes glacées, par exemple.
Voici tous mes blogs, mon pseudo est COLINE pour tous les blogs
esperance :
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